J’ai eu faim!

Lundi le 8 avril dernier (hier soir donc) j’ai cédé à une faim terrible.  Je ne sais pas ce que j’avais à ce moment-là, mais je n’étais jamais satisfait.  J’ai bien pris soin de manger lentement, de petites portions, mais ça ne suffisait juste pas.

Ça a commencé au retour du travail.  Je me suis fait mon mini-smoothie énergie car je planifiais aller au gym.  Finalement, je n’y suis jamais allé.  Voici tout ce que j’ai avalé.

Vers 16H30 : Un mini-smoothie énergie :  œuf, kale, épinards, lait, chia, bleuets.
Vers 17H00 : Du steak, la grandeur de la paume, avec des carottes, oignons et patates douces.
Vers 18H00 : Un sandwich, avec au moins 5 cm d’épaisseur de tranches de jambon fraichement cuit.
Vers 19H00 : Deux tasses de ce mélange : Nouilles à soupe, du céleri, des morceaux de jambon, dans du bouillon de jambon.
Vers 19H45 : Quelques cuillers de fromage Cottage.

J’ai donc soupé le triple de ce que je prends d’habitude.  Le quadruple, en fait, car le smoothie et le fromage, ce n’est que pour les jours où je m’entraîne, ce qui ne fut pas le cas hier.  Et je suis tombé endormi raide sur le divan du salon peu après 20H00, pour me faire réveiller par mes chats à 05H40.

Je n’ai aucune idée pourquoi j’ai eu un tel appétit, ni pourquoi c’était plus fort que ma volonté, ni pourquoi j’ai dormi presque dix heures.  J’imagine que j’en avais besoin.  Je suppose que ces derniers jours j’ai dû abuser de la diète ou des exercices, et que mon corps a réagi.

Ceci dit, j’ai trois raisons de croire que ces excès n’auront aucune incidence sur ma perte de poids de cette semaine.

  1. Ce n’était pas de la gourmandise mais un besoin irrésistible.  Le corps en avait donc probablement besoin. 
  2. Il reste que c’était de bons aliments.  Ce n’est pas comme si je m’étais gavé de poutine, burgers, hot-dogs et pizza. 
  3. La dernière fois que j’ai mangé plus que supposé, c’était lors de ma sortie de cabane à sucre il y a trois semaines.  Ça ne m’a pas empêché de perdre 3.8 lbs cette semaine-là.

Bref, je ne comprends pas le comment ni le pourquoi de ce qui s’est passé hier.  Mais je tenais à le partager pour vous montrer qu’il arrive parfois que notre instinct animal de survie puisse être plus fort que notre volonté, peu importe à quel point on puisse être strict lorsque l’on se soumet à une discipline.

… Et que, heureusement, ce n’est qu’un moment de folie passagère.

 

 

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